Parfois, la meilleure chose à la télévision est une publicité pour les anciennes chansons. Les maisons de disques pensent que nous allons les acheter parce qu’ils nous font sentir bien. Je n’ai jamais acheté, mais je regarde toujours.
Il n’y a pas longtemps, les «Three Bells» des Browns sont venus. C’est une histoire de la naissance, du mariage et de la mort du petit Jimmy Brown, tous mémorisés par des cloches d’une petite chapelle.
Cela m’a fait penser à des choses simples comme le son d’une cloche peuvent nous rappeler ce qui est important dans la vie.
Sur ma course matinale, je prends une rue du quartier. Les arbres arpentent le dessus des cadres des maisons comme une peinture Norman Rockwell. Chaque jour, une petite fille monte son tricycle sur l’allée tandis que son père lit le journal.
Elle me sourit et sonne une cloche montée sur ses poignées. Une fois que j’étais le père. Maintenant, mes filles sont devenues trop grandes pour les cloches.
Autour du coin, je me heurte souvent avec un vieil homme sur un vélo avec des pneus gras et un panier. Il a aussi une cloche et me salue avec elle. Je m’inquiète quand il n’est pas là.
Si je me sens fort, je pousse sur le parc pour une boucle autour de la piste de course. Bells de l’église catholique d’en face appellent les paroissiens à la messe du matin.
Je suis allé là-bas pour l’enterrement de mon ami Jack. Nous couvions ensemble.
À l’arrière, il y avait plusieurs coureurs en short et en baskets. Les cloches pour le service de Jack l’avaient amené du sentier à la petite chapelle pour dire au revoir.
Comme Jimmy Brown, il y a des constantes dans ma vie. Les cloches sont faciles à négliger. Moins, pour qui ils veulent.
Écoutez et rappelez-vous: Three bells